Les habitants de Québec peuvent compter sur Certi-pro pour vérifier et réparer leur silencieux.
Le système d’échappement (qui inclut le silencieux) est un dispositif du système d’échappement destiné à limiter le bruit produit par les gaz d’échappement. Il permet de réduire à la fois la vitesse et la température des gaz qui s’échappent du moteur. Il est cependant accompagné de pièces importantes liées au contrôle de la pollution.
Il y a en autre un résonateur sur la ligne pour répartir d’atténuation sur plus d’un endroit sur la ligne en plus du catalyseur qui est quelques fois lui aussi diviser en deux pour répartir la tâche. Il n’y a plus de similitude avec les échappement d’autrefois.
1- Silencieux ou pot d’échappement principal – exhaust muffler
2- Pré-silencieux, silencieux auxiliaire ou résonateur – exhaust resonator or pré-silencer
3- convertisseur catalytique ou catalyseur – exhaust catalytic converter
4- Tuyau avant ou flexible d’échappement – front pipe assembly flexible
5- Collecteur d’échappement – exhaust manifold
6- tôle protectrice de chaleur – manifold heat shield
7- Sonde à oxygène avant – oxygen sensor (upstream)
*il s’agit d’un schéma simplifié, il existe d’autres pièces auxiliaires comme la sonde à oxygène arrière par exemple et ce n’est qu’une démonstration d’un modèle de voiture seulement sur des milliers.
Un système d’échappement défectueux cause souvent des problèmes d’injection ou d’encrassement moteur. En fait, les systèmes actuels se servent énormément des signaux de sondes d’oxygène situées dedans pour ajuster le mélange air/essence. De plus la « back pressure » présente dans l’échappement est particulièrement bien ajustée pour l’injection du moteur. Donc, une perte d’échappement peut affecter le rendement moteur.
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Ce système a bien évolué depuis sa création. En fait, il avait comme seul tâche autrefois de dégager les gaz loin du chauffeur point final. C’est un peu comme le tuyau sortant d’un vieux tracteur vers le haut. Il ne sert qu’à faire monter les gaz pour éviter d’asphyxier l’opérateur. Avec le temps, les tâches de l’échappement ce sont multipliées.
La première tâche ajoutée fut sans doute l’atténuation du son. Avec un dispositif simple comme le silencieux, les constructeurs ont assourdis l’effet sonore agressant du moteur à combustion en tuyau directe. Il aide à diminuer également les saccades faits par chaque explosions de chambre à combustion. Il agit donc comme pot de détente.
C’est d’ailleurs pourquoi qu’avec les années il y a eu des ajouts sur la ligne d’échappement. La plupart des voitures d’aujourd’hui contiennent plus d’un silencieux. Souvent de grosseurs différentes et de conceptions différentes, les pots ont des tâches particulières. Nous pouvons voir des résonateurs moyens en milieu de ligne ainsi qu’un silencieux plus imposant à la fin. C’est au choix de l’ingénieur selon l’objectif et le budget consacré au modèle en question.
Il y a quelques décennies, l’arrivée du convertisseur catalytique fut un chamboulement dans le domaine. Cette pièce sortie de nul part déplaisait aux mécaniciens ainsi qu’aux automobilistes. Convaincu que cette pièce nuisait à la performance, souvent on voyait des gens demander l’enlèvement de cette damné pièce d’anti-pollution. Pourtant, il est faux de croire que cette pièce est une source de restriction. Cette fameuse chasse aux sorcières qu’en à moi, provient du fait que d’autres changements ont été apportés dans le domaine en même temps. Il y avait une crise avec le prix du pétrole en hausse depuis 1979 et tous les constructeurs ont diminués fortement les cylindrées et les puissances de moteurs. De plus, l’efficacité des lignes d’échappement au niveau du son étant augmentées, l’impression d’être encore moins performants affectaient les gens psychologiquement.
Il est à noter que les catalyseurs sont munis d’une garantie de base obligatoire dû à une loi fédérale. Cette garantie est de 8 ans/ 160,000km.
Le catalyseur ou convertisseur catalytique a changé bien des choses. Il est maintenant rendu accepté par les gens et c’est tant mieux. Il a prouvé maintenant son utilité mais ça n’a pas été facile. Mais aujourd’hui, on sait qu’il peut a lui tout seul sauver l’environnement et des vies. Le catalyseur a la capacité de compléter le cycle de combustion et éviter que certains gaz mortels et vicieux comme le monoxyde en autres puissent nuire aux gens. Aujourd’hui, une voiture récente en bonne état peut tourner plusieurs minutes dans un milieu clos sans tuer personne. Autrefois, cette erreur ne pardonnait pas.
En fait, le carburateur sans convertisseur catalytique peut provoquer l’émanation de 5000 fois plus de gaz non-brûlés qu’un système d’injection performant avec catalyseur. Je n’hésite pas une seconde en vous disant que nous ne pourrions pas vivre aujourd’hui en ville avec le nombre de voiture actuel si elles étaient toutes à carburateur avec les grosses cylindrées d’antan. La ville serait plongée dans un smog digne d’un film d’horreur et il serait là éternellement. Nous aurions des problèmes de santé graves.
Pour ce qui est des autres pièces possibles d’un système d’échappement, elles sont moins du genre à faire parler d’elle. Le collecteur d’échappement (exhaust manifold) sert à réduire les multiples sorties de l’échappement du moteur pour les diminuer à une ou deux selon la cas.
Ensuite, il y a les flexibles ou les joints en forme de beigne qui servent qui servent à ce que le système puisse bouger et s’adapter aux mouvements du moteur. Les flexibles étant un principe préféré par les asiatiques et les joints en beigne utilisés depuis longtemps surtout par les américains. Dans certains cas, il y a même des emboîtements fer sur fer.
Il existe également les caoutchoucs de support qui servent à suspendre la ligne d’échappement en l’air sans qu’il y est de lien métallique avec le reste de la voiture. Sans cela, les vibrations du moteur seraient automatiquement transférées au châssis et seraient insoutenables pour les passagers.
Le design en générale peut changer aussi d’un véhicule à l’autre. Certains optent pour la simplicité et l’économie en mettant qu’un seul silencieux, une seule ligne simple sans détour et qu’un seul catalyseur. Pour d’autres, ils utilisent des moyens plus sophistiqués, des tuyaux en « y », des « h pipe » ou des lignes doubles sur toute la longueur ou encore des collecteurs d’échappement accordés « headers ». Pourquoi? Parce que cela procure des particularités recherchées par certains automobilistes comme un aspect sonore distinct ou de la performance. Certaines voitures ont fait leur marque de commerce sur une sonorité particulière comme la Ford Mustang ou d’autres « muscle cars » car il y en a plein.
L’électronique a gagné l’échappement des voitures avec l’injection. Mis à part le carburateur « feedback », une sorte d’hybride bizarre, l’injection apporta les sondes à oxygène vissées directement avant et après le catalyseur. Nous rentrions dans une nouvelle ère de ce système.
L’injection étant un système qui injecte selon des calculs théoriques et des capteurs situés en amont vers l’entrée d’air. Étant donné que la réalité n’est pas aussi simple. L’injection pouvait dévier et manquer d’efficacité selon certains paramètres et aussi avec l’âge des composantes et l’encrassement inévitable. Donc, en prenant des mesures d’oxygène en aval grâce aux sondes, nous pouvions maintenant corriger les manques et réajuster constamment la quantité de gaz injectée dans le moteur.
Dans certains cas, il y a même des reprogrammation d’ordinateur liées à des problèmes de codes d’anomalie récurrents sur les sondes. Nous faisons de la reprogrammation si tel est le cas.
Aujourd’hui, le système est semblable, mais ce sont les précisions des sondes qui ont changés. De plus, les sondes sont différentes, elles ne mesurent pas que le taux d’oxygène. Elles s’appellent maintenant « air fuel ratio sensor » parce qu’elles sont capables de dire le dosage exacte.
La sonde de l’autre côté du catalyseur quant à elle, sert à diagnostiquer le catalyseur. Ce principe permet de voir les résultats avant et après donc de savoir s’il fait son travail environnemental. S’il échoue, des codes d’anomalie seront immédiatement inscrits et le voyant moteur « check engine » s’allumera.
J’oubliais de vous parler des turbos. Le turbo a ne pas confondre avec « supercharge » alimenté par une courroie. Le turbocompresseur est une pièce de plus en plus utilisée sur les cylindrées petites et moyennes ayant besoin de performances au besoin. Le fonctionnement est assez simple bien que très dur pour les pièces.
En fait, c’est une genre de double-turbine dont l’une dans l’échappement et l’autre dans l’admission. Celle de l’échappement sert de force motrice et entraîne l’autre de plus en plus vite lors du passage des gaz. À force de tourner rapidement dans l’admission, cette dernière compresse l’air entrant de sorte qu’au bout du compte, la quantité d’air totale dans le moteur admise est accrue. L’injection comble alors la différence en essence pour que le mélange soit balancé. Et voilà, on obtient un moteur beaucoup plus puissant.
En passant, les coûts d’entretien de véhicules équipés de turbo peut s’avérer onéreux. Dans certains cas, il pourrait être avantageux d’opter pour une garantie prolongée PPP. Chez certi-pro, nous avons la possibilité de vous offrir une garantie prolongée PPP ou de réparer un véhicule déjà couvert par une garantie PPP.
Je pourrais continuer car les principes ajoutés dans les moteurs diesel sont multiples et les dernières années ont été marquées de changements radicaux afin de les rendre mieux pour l’environnement. Des accumulateurs de suie en passant par un principe de système auto-nettoyant, tout est mis en oeuvre pour aider ou compliquer la chose selon le point de vue. Malheureusement, plusieurs systèmes du genre dans les camions légers déçoivent les amateurs de diesel qui ne reconnaissent plus leur camion depuis l’apparition de ces ajouts.
Bon, assez discuté, je m’échappe…